Mission Chûnin : Surveillier les chargemant des bateaux./ Ryukishin

C'est le bruit des travaux dans le village qui me réveille pour une fois. Toujours dans mon canapé, l'assiette jonche le sol tout comme la cuillère à soupe, c'est avec un mal de dos que je me contrains à me lever pour une nouvelle journée . Je fais un peu d'ordre dans mon appartement, prend un petit déjeuner bien mériter après ces quelques efforts, puis part me doucher . Après avoir pris tout ce qu'il me faut pour travailler je quitte mes quartiers pour entamer pour de bon le boulot . La pluie de la veille au soir ne ce n'est pas calmer, et un épais brouillard c'est en plus de cela rajouter ; autant dire que la route qui mène au quai n'est que très légèrement amusante . Pourtant cela n'empêche pas les gens de sortir, tout le monde est vraiment habitué à un climat comme cela . Je prends donc en main mon carnet pour me remémorer parfaitement ou je m'étais arrêter la veille. Je monte donc à bord d'un paquebot gigantesque qui n'était pas la hier, il est bien trop gros pour que je ne me souvient pas l'avoir vue pendant une journée . L'équipage décharge des tonnes et des tonnes de vivre qui viennent du village caché de la pluie et d'autres environ . Si c'est un paquebot qui transite entre plusieurs villages, je dois faire encore plus attention qu'avec les précédents . Je monte donc à bord pour m'entretenir avec le Capitaine. Il m'invite dans sa cabine pour discuter au sec . Il me fait signe de m'installer sur une chaise, puis prend la parole.

« Alors mon brave, comment je peux vous aider ? »

Il me donne une tasse de café tout en s’installe à leur tour dans un fauteuil mieux rembourré que les miens. Je bois une gorger, puis lui répond calmement.

« Par ordre de la Mizukage-Sama, je me dois de vérifier la contenue de tous les bateaux ici présent, et sans vous manquer de respect encore plus quand celui-ci fait de l'échange avec d'autres villages cachés. »

Il n'a aucune réaction déplacée ou mal choisie, il continue juste à boire en me fixant droit dans les yeux . Puis il pose la tasse qui me semble vide et se lève. Il me fait signe de le suivre à l'extérieur, ce que je fais. Nous parlons un peu, il me donne carte blanche pour absolument tout fouiller, et qu'il comprend parfaitement cette méfiance. Je quitte donc la passerelle avant du navire pour me diriger vers le hangar géant de cet ogre de fer.


Je descends donc dans les abîmes avec une seule idée en tête, trouver ce pour quoi je suis venue. Rien n'est comme dans les autres bateaux, malgré ma présence ici aucun ouvrier n'est surpris, ni même mal a l'aise. Je comprends vite qu'un tel navire doit régulièrement faire l'office de contrôle très poussé. J'enfile mes gants, et commence ma fouille intégrale. À regarder comme cela, il semblerait que tous les conteneurs sont triés parfaitement. Je commence donc par ouvrir les uns après les autres touts ce qui peut servir à ranger telle ou telle chose. Malgré tous une matinée a cherché la petite bête dans le hangar, je ne trouve pour le moment absolument rien d'illégal ou de dangereux pour le village. Je n'ai pas du tout fini avec cette fouille, mais pour le moment je fais Chou blanc.
Après avoir mangé un casse-croûte, je reprends le travail avec la ferme intention de trouver ce qui peut bien clocher dans un si grand paquebot ; je ne suis pas un cador pour les expertises, mais une chose trop clean ne peut pas être honnête . Je continue mes recherches et tombe sur un conteneur bien plus petit que les autres sceller. Alors qu'aucun membre de l'équipage ne fait plus attention que cela a ma présence, je décide donc de forcer le contenant. Je prends un Kunaï dans ma main gauche, la gorge de chakra et donne un coup vif sur le cadenas qui maintenait les portes fermées. Dans un bruit sourd la porte s'ouvre lentement. Cette fois-ci tout le monde me fixe. Je tape plusieurs fois dans mes mains en leur disant de se remettre au travail qu'il n'y a rien à voir. Après de nombreuses minutes à insister, je passe de nouveau inaperçu. Je rentre dans le conteneur et y trouve un autre coffre plus petit dans le fond . Il se moque de moi ou quoi . Je recommence l'opération avec un kunaï charger de chakra. Et je ne peux qu'observer des tonnes de bijoux de valeur entasser dans différentes boîtes. Je dispose toutes les trouvailles dans un sac étanche, puis remonte aussi sec sur le pont du navire. J'appelle plusieurs Policier pour m'épauler dans la tâche qui va suivre. Le capitaine du paquebot se fait menotter instantanément, et après des aveux écrits et oraux devant témoin, il semblerait que tous ces bijoux proviennent de Kumo et d'Âme. Tous dérober dans le but de les glisser malencontreusement dans notre village. Il m'a aussi dit qu'avec tous les conteneurs dans le bateau il ne s’imaginait pas que j'aurais vraiment eu le courage de tout fouiller malgré son accord, aucun autre ninja n'avait perdu son temps à cela. Je donne l'ordre immédiatement aux officiers qualifié de se charger de son cas, et de m'aider à en finir avec toutes ces fouilles dans ce navire . La cadence est beaucoup plus rapide, et pendant tout le reste de la journée équipe après équipe nous trouvons plusieurs conteneurs avec différents petits trésors clandestins. Des armes blanches comme des faux bandeaux frontaux, beaucoup de choses très compromettantes. La nuit tombe et c'est avec un soulagement non retenu que tout est fini pour ce navire. J'ordonne à un groupe de policier m'épaulant à faire parvenir au plus vite tous ces bijoux à leurs propriétaires pour éviter tout malentendu avec d'autre nations . Il est déjà très tard et pourtant je ne vais pas partir me coucher, pas tout de suite. Avec un groupe de volontaires je décide de continuer à fouiller d'autres navires. Après avoir attrapé autant de chose et fait un aussi gros coup, je ne peux pas prendre le risque que des bateaux partent pendant la nuit . Et après une nuit blanche très fructueuse c'est avec plaisir que mon équipe et moi avons trouvé dans plusieurs bateaux des cargaisons non approuvables. Hélas il n'y a pour une fois pas eu besoin de la forcer pour venir à bout de tout ce beau monde . Je remercie à de nombreuses reprises mes sempaï et décide de partir me coucher, je finir une dernière ronde générale demain, j'entame donc ma route vers le village quand soudain je me fais interpeller par un officier qui était avec moi pour les perquisitions .

« Ryukishin ! Viens vite ! Un bateau était en planque vers les massifs ! Il est sur le point de se barrer ! »

Je fis volte-face dans la seconde où il termina son dialogué, les jambes lourdes je commence quand même à courir en direction des quais . Les quelques policiers qui étaient avec moi sont encore sur les bords de la route et aucun n'a l'aire d'avoir tenté un plan pour l'arrêter. Je saute sûrs l'eau après avoir chargé une dose de chakra dans mes pieds, puis je commence à réaliser mais moudra . Je plaque les mains sur l'eau et d'une voie forte et assurer Lance :

« Suijin heki ! »

Une énorme muraille d'eau se dressa devant le bateau qui s'éloigner du port, l'empêchant de continuer sa route. Je me redresse et avec une poignée d'hommes court en direction de ce dernier. L'équipage est sur le pont les bras et mains en l'air, comme pour se rendre. Sans plus de problème nous ramenons le navire au port et les policiers comment alors les arrestations des malfaiteurs. Cette fois s'il est déjà au moins 10 heures du matin, et une fois un pied poser sur la terre ferme, c'est avec surprise qu'une bonne partie des villageois présents acclame les groupes de policiers et moi-même. Je reçois quelque tape amicale dans le dos et des félicitations pour les plus bavards ; et comme tout cela a commencé bientôt plus personne ne parle et ils reprennent tous leurs travaux, ou leur marché. Nous emmenons au commissariat toutes les personnes suspectes, puis je salue tout le monde une dernière fois avant de partir pour de bon en direction du village. Je dois faire mon rapport à Kurenaï-senseï, autant le faire pendant que je suis debout. Le vent souffle assez fort aujourd'hui, enfin au moins la pluie c'est arrêter ce qui n'est pas plus mal. Je passe devant des collègues qui cardent l'entrée au bureau du chef du village, et après avoir serré quelques mains, j'ouvre la porte pour faire mon rapport. Personne ne se trouve là, juste une nouvelle fois le même garde qui me fixe avec des yeux vides. Je lui fais donc part de mon rapport . Il me donne ma paye en main propre puis je quitte la pièce . Je rentre chez moi complètement fatiguer, je me déshabille, et me glisse dans mes draps sans rien avoir mangé, laissez-moi tranquille maintenant ... Je dors .