Mission Chûnin : Surveiller les portes de Kiri - Ryukishin

Nous sommes dimanche, le jour où je me dois de faire le grand ménage cher moi. Je me suis lever de bonne heure pour ce jour particulier, après avoir mangé un bon petit déjeuner, je commence par déplacer toutes les affaires de mon appartement pour passer le balai, j'ouvre les fenêtres, tirent les rideaux et disposent un fond de musique pour me donner du courage. Je m'arme de mon pire outil puis passe le balai avec un profond soupire. Je passe dans tous les coins, ne laissant aucune chance a la poussière de résister. Après cela je passe un bon coup de serpillière sur le sol . Je fais mon lit au carré pour une fois. Puis après cette partie de ménage, je me jette dans mon canapé pour me reposer. Je ferme les yeux et profite du temps qui passe en ne faisan pas le moindre mouvement. Quand soudain on sonna à la porte, je maudis là/les personne(s) qui vienne me casser les pieds un jour de nettoyage . Je me redresse et me dirige dans la direction de l'entrée. J'ouvre . Un ninja de Kiri se dresse devant moi avec un parchemin dans la main gauche. Il me dévisage quelques secondes avant de me tendre le rouleau . *Quoi ? Il n'est pas bien mon pyjama avec la tête d'un ours* . Il me salue puis part. Je ferme la porte et dépose le parchemin sur mon meuble, je passe devant un miroir et commence à comprendre le regard de mon homologue. Les cheveux en bataille, le maillot avec l'ours, et le short ; c'est vrai que cela fait beaucoup d'un coup . Je me gratte le ventre quelques secondes puis récupère le parchemin qui était scellé par la Mizukage. Une nouvelle mission m'était confiée et elle prenait effet immédiatement en plus . Je dois remplacer des confrères malades pour garder les portes du village ; je prends donc ma douche enfile ma tenue de ninja, serre mon bandeau frontal, enfile ma veste de chûnin et mes bottes puis après avoir fermé porte et fenêtre quitte mon chez moi. Je traverse mon village le nez dans le rouleau de mission, je plisse les yeux puis remarque que l'écriture n'est pas celle de mon Sensei. Cela fait déjà plusieurs fois que je ne la voie pas dans son bureau, mais que ce ninja est présent à sa place. J'atteins enfin mon objectif et me présente devant les portes du village. J’étais accompagnée d'un camarade du même rang que moi pour qu'il me montre la façon de procéder dans ce travail. Après de longues minutes à parler et d'explications je me poste enfin devant les barrières qui se situent devant les grandes portes en pierre du village. La matinée se passe sans aucun souci, je contrôle juste tous les passants, marchands et ninjas qui se présentent à moi . Autant dire que je m'ennuie complètement, et dire que je vais devoir faire cette corvée pendant une semaine entière . Je soupire légèrement sous mon masque pour ne pas le montrer au ninja qui se trouve à mes côtés. J'entame une discussion avec luis. Nous faisons connaissance dans les grandes lignes, tout en contrôlant bon nombre de personne qui n'arrête pas de passer. Un petit malin s'amuse à passer toutes les 10 minutes pour s'amuser. De ce fait nous devons donc le contrôler à tous ces passages devant ces portes. La matinée passe bien lentement mais vient enfin l'heure du repas, repas que l'on nous apporte d'ailleurs . C'est le seul moment dans la journée où nous avons le droit de nous asseoir. Il semblerait donc que je ne dois en aucun cas quitter ma position. Le vent souffle fort, et le froid commence à pénétrer ma combinaison. Resté immobile ne me permet pas vraiment de me réchauffer, je comprends pourquoi dans le métier on appelle ce boulot « la punition » ; on ne peut rien faire de plus que ce pour quoi nous sommes là . Contrôler encore et encore sans arrêt, cela me permet tout du moins de voir passer un nombre important de visages familier ou non. Je comprends maintenant pourquoi je vois toujours autant de monde dans le village le peu de fois ou je passe dans les rues. Kiri est vraiment un village marchand de renom. Tout type de vendeur vient ici pour faire ces ventes ou ces achats par la même occasion . La journée passe et se ressemble, rien de très excitant ne nous arrive ; je commence vraiment à croire que j'ai bel et bien était puni pour remplacer les Kirijins malade. Je repense à Kurenaï-senseï, pourquoi ne m'a telle pas convoquer elle-même ? De plus pourquoi ne c'est telle par donner la peine d'écrire l'ordre de mission, ou même de me voir depuis ma première mission. J'aurais beaucoup de choses à lui dire, aurait elle entendu parler de mon erreur lors de l'arrestation du renégat dans les quais . Un sentiment de honte et quelque frisson parcourut mon esprit. Je ne comprends pas vraiment tout cela, qu'importe-j'irais là voir dans les jours qui suivent . L'équipe de nuit arrive enfin pour nous remplacer, mon camarade et moi reprendrons le travail demain matin à cinq heures pile. Je salue tout le monde et rentre directement chez moi. Je me fais à manger, me lave et part me coucher.
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Il est environ quatre heures trente du matin quand je quitte mon appartement pour rejoindre l'équipe de nuit qui se trouve aux portes du village de la brume. Il fait encore nuit, et personne dans les rues. Mon camarade est déjà là, et après avoir discuté quelques minutes avec l'autre groupe, nous nous mettons en place pour le travail. Une petite demi-heure se passe avant que le premier visage ne pointe le bout de son nez devant le village, c'est une personne âgées qui traîne sa marchandise sur une chariote, il nous montre le droit de son emplacement sur le marché de Kiri puis nous le laissons donc passer. Tous les autres ne mettent pas longtemps à arriver, des marchands venant de petit village voisin, on eut même la chance de voir revenir un groupe de Jônin qui était parti en mission depuis un sacré bout de temps . La discussion ne durs pas bien longtemps, mais on ne peut pas leur en vouloir, ils sont sans doute fatigué, et il reste leur rapport à transmettre à Kurenaï-senseï. La matinée était bien lancer quand le même enfant recommença son manège de passer toutes les dix minutes. Il se faisait un malin plaisir à nous faire attendre au moment de sortir ces papiers. Je me demande bien que font les tuteurs de ce dernier . Une dame me demande quelque renseignement sur la position exacte d'un restaurant du village, je lui explique donc l'endroit ou se trouve celui-ci ; malgré quelque petit changement tout était bien ennuyeux à faire. Je ne peux que remarquer le même regard dans les yeux de mon collègue, lui non plus n'a pas vraiment l'air de s'amuser en travaillant ici. La zone devient plus calme en approchant de l'heure du repas, je tape dans quelques cailloux qui jonchent sur le sol, je lève les yeux au ciel après avoir retiré mes lunettes. Les nuages tournent à l'orage, une main vient se déposer sur mon épaule, je tourne la tête pour voir un Génin me tendre le repas du jour.  Je le remercie chaleureusement puis commence à manger au coter de mon camarade. Le repas se déroule sans encombre et nous reprenons nos places devant les portes . Comme le matin, rien de vraiment spéciale ne se passe, je décide donc de m'adresser au ninja qui est a mais coté.

« Tu veux te faire une partie de jet de pierres . »

Il me regarde avec des yeux grand ouvert avec un petit sourire en coin . Il hoche la tête pour répondre positivement à ma demande, nous prenons tous deux, trois belle pierre ronde et une plus petite. Le but est vraiment simple, la personne qui jette ces pierres le plus près de la plus petite d'entre elles a gagné. La partie commence, et je dois vite me rendre compte que je n'ai jamais été bon à ce jeu contrairement à mon homologue. Je perds partie sur partie, et prétextant que nous ne sommes pas là pour jouer croisent les bras et me replace devant les portes du village, le visage boudeur et les bras croisé. Il vient se placer devant moi l'air joueur.

« Tu ne serais pas légèrement mauvais perdant toi ? »

Il dispose ses mains sur ces hanches, et fait place à un grand sourire chargé de bonne volonté. Je ne peux qu’approuver d'un hochement de tête tout en gardant les bras croisés . Il retourne de l'autre coter des portes, et quelque passant amuser n'hésite pas à ricaner gentiment en passant devant nous. Les marchands partent du village avec le sourire aux lèvres pour la plupart, à laisser croire une belle journée pour certain. Un brouhaha se fait rapidement entendre tandis que bon nombre de personne se présente pour sortir du village. Je contrôle tout mon secteur et ne peux m’empêcher de soupirer un peu plus fort que d’habitude, ce que me fit remarquer amicalement la relève qui se présente derrière nous . Je quitte donc mon poste pour rentrer chez moi . Je marche doucement, profitant de la fraîcheur du soir pour me vider l'esprit, cette mission, ou plutôt cette corvée me fais perdre mon temps, je serais bien plus utile à partir sur d'autres mission qui sont dignes de mon calibre. Perdre son temps a contrôlé toutes les personnes qui veulent rentrer, je suis bien conscient de l'importance de ce rôle, mais je ne suis vraiment pas fait pour rester debout comme un piquet à ne rien faire de mes journées. Heureusement je vais bosser encore quelques jours et je pourrais enfin commencer une vraie mission .Je monte donc dans ma résidence, et me prépare à manger, des bons sushis maison! Je savoure donc mon plat et après mettre changer et brosser les dents, je dépose un doux baiser sur la photo de mes parents, puis par me coucher.

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Je me réveille doucement, prêt à en découdre avec cette nouvelle journée de travail . Je me prépare pour arriver devant les portes à la même heure qu'hier. Mon camarade est déjà en pleine discutions avec l'équipe de nuit. Je serre la main de tous les ninjas ici présent, puis nous commençons une discussion qui dure un peu plus longtemps que la veille. Il nous explique que mise a part les oiseaux, il n'y a pas vraiment d'activité le soir . Rien que le fait de penser à cela, je me réjouis vivement d'être de jour pour au moins avoir beaucoup de passage, donc de ce fait malgré tout voir passer du monde. Les discussions prennent fin, et l'équipe du soir nous quitte. La matinée commence enfin au moment où les premiers marchands arrivent devant les portes, et de nouveau la routine s'installe dans ce secteur. Après de longues minutes accouder contre les portes, mon camarade me fait signe de le rejoindre, il semblerait qu'il a un problème avec une personne.
Il m'explique qu'il doit emmener ce jeune homme au poste de police dû à ces papiers qui ont expiré . Il me fait un léger signe de la main et disparais avec la personne concernée, je me retrouve donc tout seul devant ces immenses portes, c'est d'un pas nonchalant que je me place au centre de la route, attrapant le seul Kunaï de ma pochette. Je le fais glisser entre mes doigts pour m'occuper au minimum. Le temps passe et rien ne change vraiment ici, les quelques passants qui se montrent sont tous belle et bien en règle, je ne peux même pas conter sur le jeûne de ces deux derniers jours pour me divertir, je ne l'ai pas encore vue. Il sait peut-être fait sermonner par sa famille. Mon frère d'armes revient avec les repas du midi, nous dévorons le tout très rapidement, il m'explique pendant le repas que l'homme qu'il a amené au commissariat était un ancien fleuriste du village, qu'il était parti depuis bien longtemps et de ce fait que sa carte de séjour avait tout simplement expiré . Rien de très vibrant donc... Je soupire une nouvelle fois, ce qui a le mérite de faire sourire mon camarade. Nous nous remettons au boulot les fourmis dans les jambes. La journée se déroule sans encombre, pas le moindre sans papier a se mettre sous la dent, ou même de gosse à repousser. Je deviens de plus en plus fou à garder ces portes, comment font les autres ninjas pour les garder tout le long de l'année, c'est peut-être pour ça qu'ils sont tombé malade !
Une main se pose sur mon épaule, c'est mon camarade qui se tien juste a mes côtés, il me sourit puis prend la parole .

« Ils ont la grippe, c'est pour cela qu'ils ne sont pas aptes. »

J’écarquille les yeux, pourquoi a-t-il répondu à la question que je me posais tout seul dans ma tête ? Comment a-t-il fait sa ? À peine le temps de réfléchir à tous ces détails qu'il reprit de nouveau la parole.

« Oui, je suis capable de lire dans les pensés des gens, c'est pour cela que
j'ai été affiner ici, comme ça je peux savoir directement si les gens ont des mauvaises intentions ou pas. Je dirais même que je ne le fais pas exprès, ne te vexe pas, je ne contrôle pas encore à 100 % ce dont. »

Je reste bouche bée, un tel dont et dans les rangs de Kiri je ne pensai pas du tout que c'était faisable, je reprends rapidement mes esprits et lui glisse subtilement un petit pic :

« Je m'en doutais, c'est pour cela que tu as gagné a la partie de jet de pierres, tu savais d'avance ce que j'allais viser. »

Il explose de rire à ne plus en finir, il se redresse et essuie les petites larmes aux coins de ces yeux, puis me donne une petite tape sur le dos et reprend la conversation :

« La seule chose qui te préoccupe c'est la partie d'hier, et non je n'avais pas besoin de savoir ce que tu allais faire, juste de viser mieux que toi. »

Il me fit un clin d’œil et me sourit amicalement, puis me fi un signe pour montrer l'équipe du soir qui vient prendre le relais. Après avoir discuté plusieurs minutes je décide de lâcher ma position tout en suivant mon homologue, j'attends que nous nous éloignions un peut du monde pour l'inviter à manger à la maison. Il m'intrigue de ce fait il me faut des réponses . C'est avec plaisir qu'il accepte mon invitation, d'un même pas nous marchons vers mon appartement. Une fois arriver je commence à mettre la table et lui propose à boire. Nous entamons une très longue conversation en passant par beaucoup de thèmes différents. La soirée s'étend sur de longue heure et il décide finalement de rentrer chez lui après tout ce temps passer ici . Il est déjà plus de minuit quand je me retrouve seul dans mon appartement, mes yeux fixent la pendule, je me lève dans seulement quatre heures et je ne suis pas encore coucher ; je m'installe dans mon lit et satisfait de ma journée m'endort le sourire aux lèvres.

Les jours défilent et tous ce passe pour le mieux, aujourd’hui c'est le dernier tour de garde que je dois faire, comme tous les matins je rejoins mon équipier devant les portes du village. On discute avec le groupe de nuit pour la dernière fois, puis on commence la dernière matinée avec la motivation au maximum. On contrôle encore et toujours les mêmes personnes, les mêmes marchands. Seuls les visages des Genins accompagnée de leur supérieur change régulièrement. Chaque personne est en règle et rien ne semble venir perturber la tranquillité du village caché de la brume. Le flux de personne commence à diminuer et je me rapproche donc de mon camarade. D'un ton mal assuré je prends la parole, tout en me frottant le bous du nez.

« Euh... Tu as passé une bonne nuit . »

Il me regarde, puis sourit de toutes ces dents, cela me mais mal a l'aise légèrement, il dépose 2 doigts sous sont mentons, puis me répondent.

« Tu es timide aujourd'hui Ryuk-Chan? »

Je détourne la tête légèrement, puis tourne les talons. Je décide donc de reprendre ma place à mon poste les mains dans les poches. J’attends plusieurs minutes avant de répondre à sa question, je le regarde tout en continue mon allure nonchalante.

« Je ne suis pas timide Ori, et de toute façon je ne veux plus te parler. »

Mon est ami s’esclaffa de rire, les deux mains sur les genoux, a court de souffle, il relève tout du moins la tête et me fait un grand sourire .

« Tu es sacrément susceptible toi alors, le prend pas mal, cela m'amuse juste de te faire rougir, après tu boudes toujours comme un enfant, et pour te répondre j'ai passé une bonne nuit oui.. »

Il continue à sourire bêtement tout en me fixant de ces grand yeux bleus claire. Je hoche les sourcils et ne prends pas la peine de lui répondre, je contrôle les quelques personnes qui viennent d'arriver puis attend raide comme un pic devant les portes du village. Il se déplace vers moi, me bousculant de l'épaule toujours avec ce petit sourire en coin .

Puis comme si cela ne suffisait pas, il me tire doucement les cheveux, puis les manches de mon maillot. Impossible pour moi de ne pas réagir cette fois si, je le pousse puis effectue plusieurs petits bons pour m'éloigner de luit avant de m'expliquer.

« Tu es pire qu'un enfant ma parole, tu ne peux pas juste faire ton travail.»

Il me regarde avec de gros yeux tout rond, se gratte la tête puis se dirige vers son poste de contrôle. Après cela il ne parle plus de la matinée, de temps à autre il me jette quelque coup d’œil rapide. Le temps commence à se dégager et le soleil nous fait cadeau de beau rayon puissant et chaud. Nous prenons le repas, et il décide d’entamer un dialogue.

« Tes cheveux reflètent ta personnalité Ryuk-Chan, un peu bête mais attachante. »

Il me montra le sourire le plus bête qu'il mais était donné de voir, puis je lui bondis littéralement dessus. Le "combat" ne dure pas vraiment puis une fois tous les deux au sol, il commence à rigolé de plus belle, se tenant les cottes, je lâche un léger bruit d'amusement filtrer à travers mon masque, puis me relève, je marche dans sa direction et lui tend la main.

« Pourquoi ne rigoles-tu jamais ? Je ne t'ai jamais entendu rire, et avec ce masque qui couvre la partie inférieur de ton visage je ne t'ai jamais vue sourire non plus. »

Cette question n'était pas stupide, il prend ma main puis se lève, tapote ces habits et plonge ces yeux dans les miens, il semblerait qu'il attend une réponse. Je soupire légèrement puis lui répond.

« Tu sais, j'aurais le temps de sourire une fois ce monde en paix, pour le moment il n'y a pas de quoi être content. Pour le masque, mon père porter le même, je me dois de faire la même chose . Je ne te demande pas de comprendre mes actes, c'est comme ça. »

Un blanc s'installa entre lui et moi. Je prends mes distances, le tourne le dos, et m'installe après avoir tiré dans une pierre, contre le mur des murailles du village de la brume.

« Ryukishin ! Tu ne profites pas des moments de calme et de paix que tu peux avoir, et tu veux installer la paix sans l'avoir aimé, sans jamais avoir profité du calme quelle offre aux gens, tu te trompes, tu enchaînes mission sûrs mission, dans le seul but de monter le plus rapidement en grade. tu veux changer les choses alors que tu n'es encore qu'un enfant dans le fond. Tu t'imposes des règles alors que tu devrais simplement profiter pleinement de la vie. Ne gâche pas tout, nous les ninjas avons une espérance de vie bien plus courte. Tu as déjà affronté le début d'une guerre ninja, qui heureusement c'est vite régler, ne saute pas les étapes si tu veux réellement faire honneur à ton père. »

Les paroles prononcées par Ori me pétrifient sur place, comment ose-t-il me parler comme cela, comment se permet-il de juger mes actes, et encore plus de parler de mon père, je tourne ma tête dans sa direction le regard rempli de haine, je n'ai qu'une seule envie, le mettre en pièces. Mon sang bouillonne dans mes veines, ma mâchoire se crispe, je serre mes poings tellement fort que je pourrais presque m'en casser les doigts, il parle de la paix alors que tellement de gens souffrent de la guerre et des conflits. Je ne peux pas me retenir plus longtemps je compose les moudra de mon plus puissant jutsu.  

«   Suikōdan no Jutsu ! »


Un requin d'eau d'une dimension énorme apparut et se projeta à une vitesse vertigineuse sur ma cible, dans un fracas assourdissent une explosion gigantesque se produit juste à l'entrer du village. Hors de moi, je cours à toute vitesse sûrs lui, il était allongé au sol, je prends mon Kunaï dans ma main la plus forte, puis effectue un saut d'une grande ampleur. Je pointe la lame de mon arme blanche devant moi, puis amorce une décanté d'une grande rapidité.
Juste avant l'impact final une énorme boule de terre s'écrasa sûrse moi et me projeta sur le sol, le choque fût si rude que je perds connaissance. Je me réveille quelques secondes après l'impact l'esprit embrouillé . Il se trouve devant moi, il me tend la main avec un sourire.

« Bête et impulsif, tu devrais faire attention, tu n'as même pas remarqué la substitution, contrôlent tes ardeurs la prochaine fois. »

Je ne prends pas la peine de lui répondre, tapant sa main au passage. Je me relève tout seul, et quitte les lieux. je ne veux plus voir sa tête, ces paroles résonnent dans mon cerveau. Je ne peux pas arrêter de l'entendre me sermonner, il n'a pas le droit de me parler comme cela. Je traîne les pieds jusqu'au domaine de la Mizukage, saluant le plus rapidement possible les gardes et frappe à la porte.
Elle n'est encore pas là, toujours ce même ninja qui se dresse devant moi, je le regarde et cri.

« Elle est ou Kurenaï-senseï ! Tu en as faits quoi, et vas pas te foutre de moi je ne suis pas de bonne humeur vois-tu ! »

Il me regarde avec des yeux bien plus intimidant que d'habitude, il me jette ma paye puis prend la parole.

« Ne parle pas comme ça minus, la Mizukage-sama a des problèmes plus importants que de s'occuper d'un enfant comme toi vois-tu, alors casses-toi. »

Je plisse les sourcils, lui jette mon rapport, et tourne les talons, je dois absolument me calmer sinon je vais faire des choses qui vont sûrement me poser du tort. Je décide donc de rentrer chez moi pour faire le vide...